2 novembre 2025 | 10:55
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La ville dans un état déplorable ? L’Observatrice s’interroge !

Très investie dans la vie citoyenne, l’Observatrice a suivi avec assiduité les vidéos publiées par Laurent Vastel sur son blog. Jusqu’aux épisodes 9 et 10.

Episode 9 : les courts de tennis, un équipement qui serait devenu « obsolète, comme beaucoup d’équipements quand on est arrivé en 2014 ».

Episode 10 : « une ville dans un état catastrophique », notamment les trottoirs le long de la rue de la Division Leclerc.

Alors l’Observatrice s’interroge :

  • Si c’est si grave que ça, pourquoi rien n’a changé depuis onze ans, ni sur les courts de tennis, ni sur les trottoirs de l’avenue citée, ni au stade du Panorama ?
  • Pourquoi le maire ne cite t’il que les lieus qu’il fréquente (ou fréquentait) mais ne parle t’il pas des autres ? En matière « d’état catastrophique », les habitants de la rue Boris Vildé auraient certainement des choses intéressantes à lui dire, par exemple…

Michel Giraud

1 RÉPONSE

  • Quand l’actuelle majorité municipale est arrivée aux affaires en 2014, elle accusait la précédente de n’avoir rien fait et, devant la situation qu’elle jugeait désastreuse, comparait Fontenay aux roses à la Roumanie.

    Ce n’était pas gentil pour les Roumains qui, depuis leur révolution de décembre 1989, avaient pourtant engagé de nombreux chantiers pour améliorer leur cadre de vie.

    À Fontenay aux roses en 2025, je n’ai pas l’impression que notre cadre de vie se soit grandement amélioré en 11 ans.

    Certes, nous avons des pipis de chats lumineux devant l’église Saint-Pierre Saint-Paul, une salle Rosa Bonheur sans aucun intérêt par rapport à la salle de danse qui existait dans le Conservatoire Soubise, une place à l’italienne qui n’en a que le nom à la Cavée, de nouveaux bâtiments de logements privés, avec corniches, petits balcons et toits à la Mansart, qui sortent de terre un peu partout dans la commune sans se préoccuper des espaces de pleine terre, des arbres et de leur environnement immédiat…

    L’Observatrice n’a pas fini de s’interroger.

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