8 novembre 2024 | 17:23
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Polluer plus pour dynamiser Fontenay, est-ce indispensable ?

Produits phytosanitaire de synthèse
Pour embellir Fontenay, la nouvelle majorité a souhaité des trottoirs et des pieds d’arbre sans herbes, sans vie. Pour cela elle réutilise à nouveau les produits phytosanitaires de synthèse, dont le glyphosate, abandonnés par l’ancienne municipalité. Produit classé cancérigène probable, polluants pour les nappes phréatique, ce n’est pas grave, il faut une ville propre et nette.

4000, 5000 habitants (1500-2000 logements) de plus
Densification obligatoire pour redynamiser Fontenay selon notre maire soit, comme le rappelle Jean-Jacques Fredouille dans sa dernière tribune, plus de circulation automobile, plus de pollution sonore et de l’air. Ces nouvelles pollutions dans une ville déjà dense sont-elles indispensables, on peut en douter.

Pollution visuelle, lumineuse et publicitaire
Des kiosques bien gros et bien ronds de la société Mediakiosk filiale de JCDecaux pour de bonnes recettes publicitaires.
Et maintenant 5 nouvelles bornes dynamiques et lumineuses de la société Naja (mobilier urbain), « gratuites » pour Fontenay puisque cette société se finance par les revenus issus « des faces publicitaires au dos de chaque borne » (Fontenay Mag d’avril 2016). La publicité pèse sur le cadre de vie des citoyens, le concept de liberté de réception ou de non-réception se définit par la « liberté de ne pas recevoir les informations commerciales lorsqu’on se promène dans l’espace public ». (Les déboulonneurs).

Par ailleurs, un panneau publicitaire à LED de 8 m² consomme en moyenne autant que 2 à 3 foyers de 3 personnes, on est loin du développement durable annoncé à grand renfort de communication par la nouvelle municipalité dans le Fontenay Mag d’avril 2015.

Rien n’est gratuit de la part des sociétés commerciales, il y a toujours une contrepartie. Pour Fontenay c’est, depuis la nouvelle majorité, plus de densification, plus de publicité et plus de pollutions de toutes sortes.

Les Fontenaisiens aiment leur ville, son calme et son côté village, ils ne perçoivent pas la densité élevée de Fontenay (9100hab/km2, Sceaux :5500, Clamart :5900, Plessis Robinson : 8300, Bagneux : 9200). Qu’en sera-t-il dans quelques années quand Laurent Vastel aura réalisé ses projets et que la ville aura été livrée aux promoteurs et aux entreprises publicitaires ? Les classes sociales les moins favorisées seront parties mais fera-t-il toujours bon et bien vivre ensemble à Fontenay ?

Pour dynamiser Fontenay, nos élus de la majorité devraient faire preuve de plus de dynamisme, d’innovation et regarder du côté des projets durables et d’avenir comme les villes en transition qui se développent un peu partout dans le monde. Elles ont le mérite d’allier démocratie locale et participative, dynamisme économique et social, bien vivre-ensemble et transition énergétique.

Agnès Gillot avec la collaboration précieuse de Christiane Vilain

18 RÉPONSES

  • Bonjour,
    Si l’usage des produits phytosanitaire de synthèse est si dangereuse que cela, pourquoi ne sont ils pas interdit en pratique? comme la cigarette elle aussi cancerigène.
    Je sais que ce blog est clairement de Gauche , mais arretez de taper avec une lame à double tranchant, vous pourriez vous blesser.
    Car en même temps, j’habite la résidence Saint Prix depuis 4 années et j’aime me promener à Fontenay; mais quand on voit l’état des trottoirs, routes et caniveaux, il faut bien quelque de pas normal pour rattraper l’état calamiteux dans lequel la précédente municipalité à laissé le tout.

    Alors cet usage chimique est dommage en effet alors que la précédente municipalité a su montrer qu’on pouvait s’en passer, mais un peu d’esprit critique s’il vous plait!!!!

    • Bonjour Monsieur Cyril Lin,
      Sur 2 points j’ai du mal à vous suivre.
      – Fumer est un geste individuel volontaire. Si on veut se détruire on peut le faire, mais en interdisant de fumer dans les lieux publiques, on en limite l’effet sur les autres. En revanche, traiter avec des produits phytosanitaires diffusés sur la voie publique c’est faire subir à tous la conséquence de la pollution décidée par certaines personnes.
      Par ailleurs, il n’est pas nécessaire qu’un produit soit interdit pour que les acteurs responsables appliquent le principe de précaution. Les premières alertes sur le Médiator datent de 1997, les doutes forts de 2000 et il n’a été retiré du marché qu’en 2009! Entre ces 2 dates était il bon de continuer à le prescrire?
      Je ne pense donc pas que la comparaison soit pertinente.
      Si je regrette comme vous et comme beaucoup d’autres fontenaisiens je crois, l’état de nos trottoirs et de nos rues, je ne crois pas pour autant qu’il faille y remédier de n’importe quelle façon. Surtout que des solutions alternatives existent.
      – Vous décrétez que ce blog est clairement de gauche. Vous appuyez je pense votre affirmation sur le fait que les articles qu’on y lit sont majoritairement critiques de certaines actions de la majorité qui est de droite. Mais nous l’avons dit et répété, ce blog est ouvert à tous. Alors, que ceux qui ont un point de vue différent, écrivent. Vous avez proposé un article que nous avons bien sûr immédiatement publié. Eh bien que d’autres, donc pour vous suivre, de droite, fassent de même. On ne va tout de même pas arrêter un blog citoyen, non partisan et ouvert à tous parceque certaines catégories de personnes ne veulent pas s’y exprimer.
      Je crois donc que votre affiemation que ce blog est de gauche n’est pas justifiée. Les articles aujourd’hui peut être, le blog non.
      Bien cordialement

  • La cigarette est cancérigène en effet les fumeurs le savent, ils font un choix. Heureusement la loi interdit désormais de fumer dans les lieux publics c’est déjà ça !
    En ce qui concerne les produits phytosanitaire malheureusement nous subissons la pollution dans notre environnement journalier. Comme le dit Agnès « les Fontenaisiens aiment leur Ville » c’est d’ailleurs pour cette raison que certains se battent pour y faire respecter l’environnement, pour nous et nos enfants.
    Respecter l’environnement est un acte citoyen qui n’est pas réservé exclusivement « à la gauche ».
    Entre les produits phytosanitaire, les installations d’antennes relais la sur-densification prévue nous sommes non seulement très loin des promesses faites dans les programmes de campagnes électorales mais à des années lumière de l’innovation des villes en transition. Ne serions-nous pas plutôt en pleine régression ?

  • j’ajoute un commentaire : La région I.d.F. demandait la densification autour des gares en petite couronne, ce qui justifierait à F.A.R. des constructions près de la nouvelle gare du tramway, en haut, et là seulement. Car même si l’on peut considérer qu’à 1km d’une gare, on est près d’une gare, ce n’est pas vrai dans la pratique (qui n’a jamais pris sa voiture pour la garer près du R.E.R. ?). Quant à construire près du RER, cela n’est guère possible en raison de l’habitat pavillonnaire de qualité dans ce secteur.

  • Je rappelle qu’à partir du mois de mai de cette année ces produits seront interdits en ville : ” Par un amendement au projet de loi sur la biodiversité, le Gouvernement a avancé du 1er janvier 2020 au 1er mai 2016 l’interdiction d’utilisation des produits phytopharmaceutiques par les collectivités publiques. Le projet de loi, ainsi modifié, a été adopté ce jeudi 26 juin [2014] par la commission du développement durable de l’Assemblée nationale.” (Courrier de l’environnement du 26 Juin 2014).

    Peut-être que le service des la ville a voulu liquider les stocks de poison qu’il avait commandés pour mettre en œuvre la politique de désherbage rétrograde de Monsieur Chambon connu pour sa haine des herbes sauvages, politique cautionnée par messieurs Faye (Urbanisme, environnement) et Vastel (Maire) ????!!!!

  • En fin de compte, la date d’interdiction que l’on trouve sur le site du ministère est le 1 Janvier 2017. Espérons que cette fois, c’est définitif !

  • Le diable est installé depuis 2 ans à la mairie et tout est à jeter;

    pourtant faire venir de nouveaux habitants qui paieraint la taxe d’habitation ne serait pas inutile pour payer tous lee services publics que vous exigez.

    ne plus avoir d’orties et d’herbes folles ne me dérange absolument pas, chers bobos écolos

    • Bonjour monsieur Leonard
      Que la loi nous oblige à densifier notre ville, +15% donc environ + 3000 habitants d’ici 2030, c’est un fait. (Même si l’on peut discuter du bien fondé social et écologique de cette mesure appliquée sur la petite ceinture, mais c’est un autre débat).
      Mais dire que cela va rapporter de l’argent à la commune c’est beaucoup plus discutable.
      Lors de la réunion du groupe associatif de Michel Faye de lundi soir, il ressort que certes monsieur le Maire qui était présent a indiqué que cela rapporterait environ 3M€ à la ville, mais M. Faye a tout de suite complété en disant que les enfants de cette nouvelle population couteraient 1 à 1,5M€ (cantine, etc…) et que pour acceuillir ces habitants il faudrait prévoir des crèches, au moins 1 salle de sport, augmenter les capacités d’acceuil de nos écoles, etc…(Ce qui va d’ailleurs dans le même sens que les articles de Gilles Mergy et d’Agnès Gillot dans ce blog).
      Au bilan ce qui ressort de la discussion c’est que ce sera équilibré en terme économique. En gros, pas de gains à envisager pour la ville par cette augmentation de population. N’attendons donc pas que ces nouveaux habitants “payent” quoi que ce soit de plus que ce qui sera nécessaire pour les accueillir.
      Cordialement

      • Ludovic Zanolin

        Est-il si sûr que la loi nous oblige à densifier notre ville de 3000 habitants d’ici 2030? Est-ce que Daniel Marteau pourrait préciser de quelle loi il s’agit?
        Un mot sur l’évolution de la population. Après 25619 hab en 1975, la vile a compté 23824 hab en1982, 23374 en 1990, 23547 en 1999, 23964 en 2006(chiffres J.Ph Damais). Le budget 2016 donne 23583( réf à 2011 ou 2012?). Seul le recensement 2013 fait apparaître une baisse en dessous de 23000 hab-22673- (aléa du nouveau mode de recensement?). Hors ce qui est peut être une simple anomalie d’estimation, la population de la ville a été globalement stable pendant…30ans! Attendons le prochain recensement pour y voir plus clair et voir si les nouveaux habitants d’Olympe de Gouges et des anciennes résidences ALJT(Péri et Val Content)- autour de 500 hab- sont comptabilisés.

      • Daniel Marteau

        Merci de m’avoir demandé de préciser, cela m’a permis de vérifier les obligations pour les municipalités en faisant quelques recherches .
        En synthèse on peut noter que le contexte juridique du SDRIF est encadré par plusieurs lois depuis 1995 sur l’aménagement du territoire:
        Loi 95-115 du 4/02/95.
        Loi 99-533 du 25/06/99 et plus récemment les lois Grenelle 1 (2009-967 du 3/08/2009) et Grenelle 2 (2010-788 du 22/07/2010).
        Le SDRIF en vigueur a été approuvé par décret en conseil d’état 2013-1241 du 27/12/2013 (JO du 28/12/2013).
        Il s’ impose donc aux collectivités locales qui ont 3 ans pour mettre en compatibilité leurs documents locaux d’urbanisme (PLU), soit jusqu’au 28/12/2016.
        On peut trouver le SDRIF sur le site internet de la DRIEA: DRIEA.ile-de-france.fr
        Et Fontenay aux Roses dont la densité de logements est inférieure à 220 logements/ha qui est la barre au delà de laquelle il ne s’agit pas d’obligation pour les municipalités mais d’incitation à participer à l’effort, est donc bien dans la cible de densification (incluant les clauses de proximité de gare et de point de transport ).
        Daniel Marteau

  • Plusieurs remarques me viennent à l’esprit en lisant cet article et ces commentaires :

    1/ Ce blog est clairement un blog d’opposition et de gauche. c’est indéniable et les membres qui y participent sont biens des gens de l’ancienne équipe municipale socialo-écolo-communiste de Pascal Buchet, ou du moins qui le soutiennent.

    2/ L’imprécision, voir les fausses informations qui y sont publiées, dénotent soit d’une mauvaise information, soit d’une volonté de désinformation. Qu’il s’agisse de l’antenne free, du désherbage ou de tout autre sujet, vous voulez donner l’impression que l’actuelle majorité ne veut qu’une chose : faire le malheur des Fontenaisiens … la ficelle est beaucoup trop grosse.

    3/ Quant aux propos de J-F Dumas, ils sont à mourir de rire tellement ils sont à côté de la plaque, tant sur la méconnaissance de la législation que de l’action des espaces verts de la ville. je ne sais pas si E. Chambon a la haine des herbes sauvages, mais par contre je sais parfaitement que ma rue et les pieds d’arbres sont plus propres. Et c’est ce que je voulais et que J-F Dumas n’a jamais réussi à faire quand il en était en charge.

    • 1°) A propos de la réglementation, voici ce que l’on peut lire sur le site du ministère : “La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte interdit au 1er janvier 2017 l’utilisation des produits phytosanitaires par l’État, les collectivités locales et les établissements publics sur les voiries, dans les espaces verts, forêts et promenades ouverts au public.
      Les produits de biocontrôle, les produits qualifiés à faible risque et les produits utilisables en agriculture biologique restent autorisés.” Donc, qui est ignorant de la réglementation et à côté de la plaque pour reprendre votre expression ?
      2°) Je sais ce que veut dire “avoir les pieds propres” lorsqu’il s’agit d’un humain ou d’un animal domestique. Mais pour les arbres? L’expression est pour le moins métaphorique! Et c’est une mauvaise métaphore. En effet, il s’agit de plantes qui poussent librement aux pieds des arbres.Elles n’ont rien de sale ! Par contre les pieds d’arbres traités a glyphosate n’ont rien d’engageant. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les photos de l’article d’Agnès Gillot “Glyphosate or not glyphosate” du 22 juin 2015 sur ce blog.
      3°) Votre détestation des herbes sauvages et votre satisfaction de les voir disparaître en ville vous conduisent à accepter que l’on empoisonne votre environnement. Si ce n’était que le vôtre et si ce n’était que votre eau, tant pis pour vous. Mais c’est l’environnement de tout un chacun et l’eau de tous. Il s’agit de biens communs à préserver au lieu de les saloper bêtement. Il y aura là peut-être de quoi mourir mais pas de rire…

      • Benoit Telanga

        Très belles photos, Monsieur Dumas, que celles effectivement mises dans l’article de juin 2015 avec petites fleurs des champs et jolies plantes. Le seul problème, c’est que cette photo n’est pas fontenaisienne et que la réalité était toute autre. J’ai des photos des pieds d’arbres devant chez-moi qui datent de l’époque où vous étiez à la mairie et ça n’a rien à voir avec vos jolies petites fleurs : chardons, orties et autres pissenlits décorés de papiers et canettes … car non seulement vous laissiez ces pieds d’arbres à l’abandon, mais en plus vous ne faisiez aucun nettoyage des trottoirs. Je suis désolé, mais le cadre de vie passe aussi par de la rigueur, de l’entretien et du nettoyage : CE QUE VOUS NE FAISIEZ PAS !!!!!!

      • Ces photos ont été prises Boulevard de la République. Les arbres sont des tilleuls plantés en remplacement de ceux qui avaient été abattus pour des raisons de sécurité. Décidément, les accusations sans preuves et les affirmations gratuites semblent être une habitude chez vous.

        Cela dit, je vois que vous partagez avec l’élu actuel responsable des espaces verts une aversion pour les pissenlits (voir l’article déjà ancien de mon blog : http://www.jfdumas.fr/Emmanuel-Chambon-et-les-herbes-folles-le-grand-desamour_a166.html), vous y retrouverez aussi les photos du Boulevard de la République.
        Pour en revenir aux pissenlits, ils n’ont rien de laid et de plus sont mellifères, une aubaine pour les abeilles et les papillons que les produits déversés “pour faire propre” affament et/ou exterminent. Quant aux orties, elles piquent! C’est pourquoi elles sont un bon moyen naturel et gratuit d’éviter que les chiens se soulagent contre les troncs et au pieds des arbres, ce qui est très néfaste pour ces derniers. Elles évitent aussi le piétinement.
        Les canettes, je suis d’accord, ce n’est pas leur place mais il ne faut pas généraliser sur un cas particulier et vous confondez deux choses, la propreté et le fait de laisser s’exprimer en ville, notamment aux pieds des arbres, une biodiversité naturelle. C’est révélateur : pour vous, de façon plus ou moins consciente, cette biodiversité, c’est sale. Et cela déforme le regard que vous portez sur ces plantes.
        Je constate qu’il y a encore beaucoup à faire pour lever ces a priori chez certains lorsqu’ils sont aussi solidement ancrés et j’avoue que je n’ai pas mené assez d’actions pour cela lorsque j’étais aux affaires.
        Pour que les gens comme vous acceptent la Nature en ville et en fassent un élément important de leur cadre de vie, adoucissant le caractère artificiel de leur environnement, il faut qu’ils cessent d’en avoir peur et/ou de la trouver répugnante.
        Nous avons donc deux conceptions diamétralement opposées du “cadre de vie”.

  • Françoise ZINGER conseillère municipale

    Entièrement d’accord avec J.F. Dumas. C’est un sujet grave et les méfaits des pesticides et des engrais chimiques sur notre santé et sur les sols sont démontrés.
    D’une façon plus générale, cette discussion pose la question de la notion de beauté et de laideur, je vous invite à lire à ce propos le conte d’Andersen, “grandeur et misère” https://fr.wikisource.org/wiki/Nouveaux_Contes_d%E2%80%99Andersen/Grandeur_et_mis%C3%A8re. Les “mauvaises herbes” ou adventices (qui poussent sans avoir été semées) sont ainsi appelées parce qu’elles gênent le cultivateur en prenant la place et les nutriments des plantes qu’il veut voir pousser. Si l’on peut comprendre ce point de vue, en ville le problème ne se pose pas et on peut se demander pourquoi on considère le pissenlit comme une mauvaise herbe alors qu’on est prêt à acheter dans les jardineries des soucis dont les fleurs ressemblent beaucoup à celles du pissenlit et il en est de même pour beaucoup d’autres adventices.
    Pour en revenir aux tours des arbres, il suffirait de tondre autour des arbres de temps en temps ou, comme cela a été fait il y a quelques années, de distribuer des graines aux riverains volontaires pour fleurir les arbres devant chez eux mais cela suppose que les chiens n’y fassent plus leur besoin et que tous les habitants fassent preuve de civisme en déposant leurs déchets dans les poubelles. L’esthétique de la ville y gagnerait beaucoup!
    En revanche, les caniveaux doivent être soigneusement nettoyés mais à la binette et en retirant la terre qui s’accumule naturellement et sûrement pas avec des désherbants chimiques qui sont rapidement lessivés et donc inefficaces et dangereux en polluant notre eau pour des décennies.

    • Encore une méconnaissance d’une élue, Mme Zinger : les caniveaux ne peuvent être traités par des désherbants chimiques, la loi l’interdit depuis de nombreuses années …

      Quant à Monsieur Dumas, les photos de ma rue se trouvent être justement du … boulevard de la République. Comme c’est marrant ce décalage entre ce que vous présentez et la réalité. Mais ce débat devient stérile et je ne reviendrai plus sur ce blog dont finalement une pensée unique semble régner en maitre. Ah oui, j’oubliais que vous êtes de gauche, avec tout le sectarisme que vous représentez. Au revoir.

  • Bonjour Ludovic Zanolin,
    Je faisais référence au document du SDRIF que j’avais lu à l’époque (l’année dernière) quand il était en libre consultation à la mairie. J’en avais déduit, et cela m’avait été confirmé par un voisin Fontenaisien qui travaille au “Territoire” que concernant l’évolution démographique elle était imposée par le SDRIF au niveau de +15%, et qu’il s’agissait de + 15% par rapport à l’urbanisation existante lors de la publication du SDRIF, c.a.d. fin 2013. La Territorialisation de l’offre de logement (TOL) s’applique également à Fontenay aux Roses (il s’agit du plan de mobilisation pour le logement dans la perspective d’atteindre en Ile de France 70.000 logements par an…à l’échéance du SDRIF). Cela représente pour Fontenay 3000 logements pour la TOL d’ici 2030 (échéance du SDRIF). Ce chiffre de 3000 pouvant se répartir entre logements à construire et logements à réhabiliter (la réhabilitation comptant au titre de la TOL mais pas du SDRIF).
    J’ai appelé cela une loi, ce n’est peut être pas le terme exact, mais c’est en tout cas une obligation. C’est ce que j’ai compris et fait vérifier. Mais si vous pensez que c’est une erreur, merci de m’indiquer pourquoi et je rectifierai le cas échéant.
    Daniel Marteau

  • Pour les panneaux publicitaires, j’ai oublié la nuisance sonore. En effet, il faut un ventilateur (que l’on entend très bien) pour refroidir ces écrans et l’ordinateur qui est derrière pour les faire fonctionner. Moches, bruyants et je pense inutile, merci à la majorité pour ces cadeaux “gratuits”

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